dimanche 6 juin 2021

La vague "Drovni" sur le parc nucléaire Français (2014 -15) élucidée


On a pris la communauté ufologique pour des clowns

Rapidement... Il est de mon devoir d'annoncer ce qui sera difficile à entendre pour certains. C'est la piste que je privilégiais depuis un moment après avoir récolté un maximum d'informations autour de moi. J'émettais l'idée que nous savions mettre en œuvre des stratégies pour diriger et paramétrer un ou plusieurs drones de haute technologie (UAV) civils ou militaires de façon simultanée et coordonnée à distance sur l'ensemble du territoire Français. Je viens d'obtenir confirmation, ne me demandez pas d'où vient cette information, la source est sûre et très bien informée.

Je savais oh combien j'allais être bousculé en l'évoquant sur le forum "Les Mystères des Ovni". J'en ai été banni pour diverses raisons. Le fait d'avoir apporté une information qui n'a pas été prise en compte ne fait pas visiblement de vous une personne de confiance. L'envie de voir des Ovni partout restant la plus forte. Ceci étant, c'est de l'histoire ancienne, n'en parlons plus, je n'y remettrais plus les pieds. Je considère que justice est rendue.

Qu'était-ce donc au juste ? Dans le jargon militaire, on appelle cela une "PsyOps" (opération psychologique). On en entends beaucoup parler actuellement aux Etats-Unis dans le processus de la levée du secret pour décrédibiliser la présence de véritables objets hors de notre monde (un rapport devrait être rendu le 25 Juin 2021). Le but était de tester durant une période définie, la réactivité de tous les acteurs de la filière sur l'ensemble du parc nucléaire Français dans une vaste opération visant à tester les systèmes d'alerte et de sécurité afin de nous prémunir de véritables accidents et autres sabotages terroristes.

Je n'ai aucune idée du nom de ou des sociétés ayant utilisées les drones en question.Vous en avez plusieurs qui peuvent faire le job comme Air Marine, Microdrones France, Airborne Concept, Pragma Industrie, Delair-Tech, etc... Il peut aussi très bien s'agir d'une cellule dédiée de l'armée. Dans tous les cas, la logique veut qu'un donneur d'ordre (ici probablement la DGAC) délivre au préalable toutes les autorisations nécessaires pour passer à l'action en temps et en heure avec un suivi rigoureux de l'espace aérien.

Si nous disposions d'une "Freedom of Information Act" (Loi de la Liberté sur l'Information) en France, nous pourrions demander des comptes à la DGAC. Peut-être qu'un jour cela reviendra sur la table, auquel cas il n'y aura plus d'excuses pour encore en douter.