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samedi 7 mai 2016

OVNI Vs sous-traitance "high-tech": Projets aéronautiques et spatiaux en Lorraine


J'aborde ici en partie, un sujet englobé dans un contexte d'ordre plus général. Je reste assez convaincu avec le recul qu'une accumulation de sources et dossiers font état d'apparitions d'OVNI au-dessus de certains sites de pointe en matière de recherche et conception de matériaux dans l'industrie civile (et ou militaire) dans le domaine de l'aéronautique, et du spatial principalement. Tout ceci n'est pas du au hasard.

Le fameux complexe militaro-industriel version "made in France" existe bel et bien...

Le moins que l'on puisse dire, c'est que la Lorraine est plutôt bien placée dans ce domaine. Nous allons voir ici des pistes d'investigations intéressantes nous permettant de revoir peut-être notre approche en terme de veillées ufologiques.

Mais avant d'aller plus loin et pour bien vous faire comprendre le fond de ma pensée, je juge nécessaire de vous rappeler les événements de l'affaire de Forges-Les-Bains (91).

Ce témoignage faisant appel à une observation d'objets non identifiés au-dessus de sites sensibles est loin d'être un cas isolé. Certains sont moins spectaculaires ou sont probablement passés sous silence notamment par le personnel d'astreinte.

Qu'en est-il en Lorraine ? 

Pour se rendre-compte de la situation et l'implantation des sociétés dans ces domaines, je vous propose de jeter un oeil à cette carte...



Source: Aériades, Direccte Lorraine, Région Lorraine, Valoris Lorraine-09/2012


Alors soit ! Tout n'est pas rose non plus, l'échec de Skylander (Sky Aircraft) est là pour nous le rappeler. L'industrie aéronautique comprends aussi l'univers des drones, en plein essor (voir un billet précédent sur les méprises). De nombreux projets naissent ainsi chaque année et il faut suivre leur évolution. 

Sont concernés, la conception et réalisation de très petites pièces comme des puces électroniques, des circuits imprimés, l'avènement des nanotechnologies, en passant aux plus complexes à réaliser ainsi qu'aux structures et armatures des appareils qui survoleront nos cieux et l'Espace dans les années à venir.

Qui sont-elles et que font-elles ?

Loin de toutes les énumérer, j'en ai choisi quelques unes qui me semble particulièrement intéressantes car liées de près ou de loin à de gros lobbys industriels, ces derniers étant en ligne de mire concernant nos observations d'OVNI.

La Société Lorraine de Construction Aéronautique (S.L.C.A. SA), issue d'Aircelle, une filiale du groupe SAFRAN et installée sur la zone Ste-Agathe de Florange (57). Elle réalise des structures composites pour les structures d'aéronefs.

SAFRAN Aéro Composite installée à Commercy (55) dans la Meuse, elle produit des pièces en matériaux composites pour des moteurs d'aéronefs.

CIMULEC, installée sur la Z.A.C. des Jonquières à Ennery (57), elle est chargée de fabriquer des circuits imprimés pour équiper des aéronefs civils et militaires, des satellites, des radars et autres systèmes de brouillage à distance (hyperfréquences). Elle collabore étroitement avec de grands groupes comme THALES, AIRBUS, MATRA...

MEUSONIC est jumelée avec SERICAD et font parties du groupe ARELIS, située à Marville (55), son domaine, c'est l'électronique haute fréquence de pointe. Son principal client est le groupe Serge Dassault.

REALMECA fabrique une large gamme de machines de haute précision dans l'aéronautique, le médical, la micro-mécanique etc... Comme MEUSONIC, celle-ci fait partie du groupe ARELIS. Elle est située à Clermont En Argonne. Elle produit entre autre une pièce relativement complexe à réaliser pour les avions Rafale (châssis du radar à antenne active). Elle fabrique également le boitier optronique et de brouillage ainsi que des têtes-chercheuses des missiles de MDBA qui équipent les chasseurs.


Conclusions et perspectives à venir.

Maintenant que nous y voyons un peu plus clair dans les objectifs à atteindre, nous verrons à l'avenir si des témoignages semblent attester de survols au-dessus ou à proximité des ces sites sensibles.

Mr Paul Hellyer, ancien ministre de la défense du Canada a soulevé lors d'une interview filmée et disponible sur Youtube ce que j'essaye de faire passer à travers ce billet. 

Il explique la manière dont pourrait être maintenu en partie le secret. Au départ, il y a un organisme donneur d'ordres, au-dessus de tout soupçons qui passe commande auprès d'une entreprise de pointe pour réaliser une pièce sur mesure dont on fourni le plan. Cette dernière se charge de la réaliser sans sourciller, mais ne cherche pas à savoir pourquoi et comment elle sera utilisée. 

Ainsi, chaque petite pièce sortant d'une multitude d'ateliers de haute technologie constitue une partie d'un puzzle dont la finalité reste obscure. Nous pouvons à partir de là spéculer que nous pourrions avoir à faire à l'élaboration de "projets noirs" ou "black project".

Dans une autre perspective, le but de "nos visiteurs" serait de venir de temps à autre afin de scanner et vérifier ou nous en sommes en matière d'innovations technologiques dans le cadre de cette étude. Ils réaliseraient une sorte d'espionnage industriel pacifique "d'outre espace".

Il serait peut-être bon de concentrer nos efforts en matière de surveillance du ciel en se positionnant non loin de ces sites, la plupart étant situés sur des zones industrielles et donc à priori très lumineuses, ne devrait pas nous gêner pour autant si ces "objets" ou simples lueurs viennent poser leur regard sur les lieux sur des distances raisonnables pour être capturés efficacement avec nos objectifs.

Pour info et renforcer mes propos, je rappellerais encore cet autre cas ou un immense triangle Belge était stationné au-dessus d'un bâtiment au coeur d'une zone industrielle.

L'affaire d'Engis (Source: Cobeps.org)



  

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