Retour sur cette observation rendue publique notamment dans les pages et sur le site du Républicain Lorrain, information reprise à droite et à gauche sur le web et diffusée largement sur le réseau Facebook. Agir de la sorte est une bonne manière de faire connaître un événement insolite et d'une certaine façon, cela peut conforter les témoins à se manifester, mais en réalité, les chances d'obtenir d'autres signalement restent assez faibles.
Malheureusement, il aura été impossible d'obtenir les coordonnées de cette personne pour procéder à une enquête privée dans un premier temps et établir la balance avec les conclusions de l'organisme officiel.
Voici qu'un peu plus d'un an s'est écoulé et comme toujours, aucun compte-rendu du GEIPAN n'a encore été rendu publique sur cette affaire. A la limite, nous n'attendons plus rien de leur part.
Les lenteurs administratives de ce service dépendant du CNES, pourtant encensé dans les pays étrangers, ne jouent absolument pas vraiment à la faveur des chercheurs et enquêteurs indépendants.
Capture numérique de l'événement (Source: R.L.)
Une capture d'écran est nécessaire, car des pages importantes dans le cadre d'une contre-étude peuvent facilement se perdre sur Internet. Retrouvez ICI l'article dans son contexte publié sur le site du Républicain Lorrain.
Le témoin a également réussi à filmer la scène avec sa tablette numérique. La vidéo est visible à cette adresse.
Que s'est-il véritablement passé ce soir là ? La mode depuis près de deux ans, serait-elle celle d'utiliser une seule et unique lanterne pour brouiller les pistes ? Un enquêteur patenté s'est-il déplacé ? A t-il vérifié toutes les pistes en temps et en heure ? Devons-nous continuer d'accepter stupidement les conclusions du GEIPAN ?
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