samedi 28 avril 2018

Objets ou sources lumineuses à basse altitude, pourquoi pas la piste du fer ?



Le combat d'Arcelor Mittal pour que vive la sidérurgie Lorraine


Je l'avais déjà évoqué, mais j'y reviens ... Dernièrement je suis tombé sur deux entretiens signés José Bouillon accordés à Mr Luc Cotté, un ufologue chercheur essayiste qui réside du côté de Clermont-Ferrand. Celui-ci évoquait la piste du fer comme explication aux survols d'Ovni en des zones bien précises. J'avais eu connaissance de Luc depuis l'histoire d'un cliché d'Ovni médiatisée par la presse régionale à l'époque et ou il s'exprimait dans une vidéo en lien avec l'événement. Cette expérience pourtant accompagnée du récit du témoin et son caractère médiatique est quelque peu passée sous silence par le GEIPAN pour je ne sais quelle raison, à ce jour nous ne connaissons toujours pas le fin mot de l'histoire.

Puisque Luc disposait d'un site web, j'ai été agréablement surpris de découvrir qu'il lorgnait sur quelque chose que j'envisageais également de mon côté mais qui n'avait pas été mis en forme. Etant Mosellan, et que nous sommes dans un berceau sidérurgique, fer d'un côté, charbon de l'autre, je me suis mis peu à peu au travail avec l'idée d'intégrer cette piste du fer dans une étude géo-ufologique plus globale que je ne livrerais pas de sitôt (travail inachevé qui se doit d'être encore enrichi). Accordons toutefois à Mr Cotté d'être le découvreur officiel de cette piste.


Généralités

Sans rentrer dans les détails techniques et trop complexes, il est nécessaire en quelques lignes de définir un peu ce métal.


Le fer (fe), de masse atomique 26 est sans doute un des éléments les plus communs sur Terre. Le noyau est constitué principalement de fer, de nickel et autres matériaux secondaires en fusion. Il est également très présent dans les météorites et constitue également le noyau d'autres planètes. Autant dire qu'il n'est pas une denrée rare à l'échelle de l'Univers. N'oublions pas que la Terre est un très gros aimant parcouru par un champ magnétique qui passe du Nord au Sud.

Avant qu'il soit monnaie courante, l'homme préféra le cuivre et le bronze pour réaliser ces armes ou bijoux avant d'avoir l'idée de l'utiliser et le maîtriser afin de le rendre plus solide par l'ajout de carbone, ce qui donna lieu à l'acier pour l'élaboration de ces armes, outils et diverses structures métalliques. Il a été retrouvé des armes constituées de matériaux extraterrestres issus de météorites, chose que l'on arrive à déterminer généralement à l'aide d'un spectromètre de masse (la structure moléculaire est différente = étude des isotopes).


La présence du fer dans nos régions

Les gisements se sont formés durant l'Aalénien (Jurassique Moyen). Le fer est présent du Sud de la Belgique en passant par le Luxembourg (secteur d'Esch-sur-Alzette) et poursuit sa course vers la France dans un premier bassin constitué par les mines du "Pays-Haut" (Longwy-Briey-Homécourt-Thionville). Un second bassin s'étends sur une bande située à entre Metz et Nancy.


Notre fer est communément appelé "Minette de Lorraine" (ou minerai oolithique) car sa teneur en fer n'est pas très élevée (30 à 35 %), mais il existe aussi du "fer fort" (70 à 75%).

Des fouilles et sondages archéologiques réalisées notamment dans le massif forestier des alentours ont démontrées qu'il existait une paléo-métallurgie organisée avec de nombreuses traces de ferriers, charbonniers, scories et présence de bas-fourneaux utilisés des Celtes au Haut Moyen-Age en passant par la période Gallo-Romaine. Mais le fer fut vraiment exploité à l'échelle industrielle qu'entre 1830 et 1997, date qui sonna la fin définitive de ce qui faisait notre richesse régionale, la dernière mine ayant fermée quatre an plus tôt.

Je passe sur les techniques d'extraction. En revanche, il est bien évident que ces matériaux devaient être transformés dans des usines à proximité ce qui constitua peut-être un intérêt pour nos visiteurs. Entre les mines, forges, hauts-fourneaux, aciéries, laminoirs etc... il y a de quoi s'octroyer l'objet du désir à moindre frais.



Wagonnet d'acheminement du minerai



Et nos Ovni dans tout çà ?

Historiquement et ufologiquement parlant, on constate dans une période qui s'étends grosso-modo de 1954 au milieu des 90, une recrudescence d'observations dans les zones à forte implantation sidérurgique. Notamment sur Audun-le-Tiche, Hayange et la vallée de l'Orne.


Quelques exemples ...

Le 23 septembre 1954 du côté de Lantéfontaine les Baroches (54) fut observé un étrange ballet de rassemblement de cigares (6 au total !) par une dizaine ouvriers qui se rendaient à bicyclette vers les usines du groupe Sacilor. Ces objets sont restés immobiles plusieurs minutes durant au-dessus de la campagne environnante avant de disparaître.

Le 6 mai 1965 à Audun-le-Tiche (57), c'est une énorme masse rougeoyante qui se déplaça en moins de cinq secondes, en trois points différents répartis sur une ligne droite, allant de gauche à droite et sur une distance de 500 mètres, sans aucun bruit, au sommet d’une colline située au loin, à environ 1,5 km. Les toitures des maisons de Russange situées au pied de la colline, étaient également
éclairées par cette lueur rouge.




Audun-le-Tiche: La Borne de fer, une histoire qui remonte à 130 millions d'années



Début mars 1973, Piennes (54), Disparition durant la nuit de 60 tonnes de ferraille composées de rails de chemins de fer, et 7 aiguillages qui disparaissent d'un chantier. Evènement attribué à la vague de 1973.



Le 29 mars 1976, Ottange (57), des adolescents observent deux phares d’un diamètre apparent de 1 cm, l’un de couleur rouge et l’autre blanc, volant silencieusement à une vitesse constante de 6° par seconde, et descendant vers le bois à 45° sur l'horizon. Les phares étaient de forme rectangulaire, aux contours imprécis, d'une lumière diffuse, n'éclairant pas les environs. La durée de la descente fut estimée à une dizaine de secondes. Les deux phares disparurent derrière le bois. Il existe des puits de mines et un funiculaire qui rejoint Rochonvillers.

En 1996, Clouange (57) observation d'un objet triangulaire au-dessus d'une parcelle de forêt, volant à basse altitude, l'objet a été suivi sur près d'un kilomètre en mobylette par le frère du témoin de l'observation dit de "La Neule". L'autre frère affirme avoir été comme "scanné" en compagnie de sa femme et un ami sur une petite route longue de 2 km traversant la forêt. Ce type de triangle a été régulièrement aperçu sur les communes des alentours: Maizières les Metz (quartier Kennedy), Gandrange, Clouange, Vitry s/Orne et Moyeuvre-Grande durant les années 1994-96.

Etc... Tout ou presque a pu être observé au niveau des formes, tant des cigares, sphères, disques et autres triangles dans les années 90 évoluant à basse altitude. 

Une information au passage ... A Berviller, Tromborn et Rémering on exploitait aussi du minerai de fer à la Révolution, hors n'est-ce pas en ces endroits que plusieurs observations ont étés signalées, certaines relevées dans ce blog ? Les premiers triangles Lorrains survolaient déjà ces secteurs respectivement en 1975 et 1977.

Plusieurs témoins font état d'une couleur rougeoyante comme du métal en fusion, s'agit-il du moment précis ou les vols de matière première ont lieux ? S'agit-il de l'Ovni ? Celui-ci est-il invisible ou bien s'agit-il uniquement du matériau extrait du sol ? Serait-ce une pratique pour subtiliser et stocker le fer dans de meilleures conditions lorsque celui-ci est en fusion ? Nous sommes en droit de nous poser ces questions même si elles paraissent pour le moins saugrenues.

Des rapports d'observations font état de rayons lumineux émanant des Ovni comme des faisceaux tronqués ou qui se prolongent jusqu'au sol, s'agirait-il de possibles rayons tracteurs afin d'extraire ce dont ils ont besoin ? Cela génère toujours plus de questions que de réponses, nous en avons désormais l'habitude.

Mais ce n'est que par des enquêtes menées à la source que nous pouvons obtenir un maximum de données exploitables afin de se donner le droit d'extrapoler un peu sur les possibles missions de ces choses issues d'un monde étrange qui ne semblent pas seulement se focaliser sur le fer puisque de nombreuses autres mines et carrières sont visitées sur le même principe jusqu'à récemment.

Quelles motivations pouvaient-ils les pousser à vouloir à se manifester sur ces secteurs en particulier ? Est-ce du à la forte luminosité en provenance des usines qui restaient éclairées la nuit au coeur des vallées ? De l'espionnage industriel ? Prendre connaissance de nos avancées en matière de transformation de la matière ? Ou bien venaient-ils là extraire à leur tour sans les matériaux dont-ils avaient besoin pour X raison ?

Nulle n'est en mesure de le savoir et c'est bien pour cela que l'enquête doit continuer.